Au bout de mes aiguilles

Mes premières amours

J’ai appris à tricoter très jeune (merci Maman de m’avoir transmis ce savoir !) et certains tricots réalisés durant ma jeunesse sont toujours portés par ma maman ! Récemment, j’ai récupéré un pull irlandais (qui a donc plus de 40 ans !!!) et cela m’a donné envie d’en tricoter un à nouveau, cette fois pour M. Cath. L’ouvrage m’a occupée durant plusieurs semaines (3 mois pour être exacte, sachant que je ne tricote que le soir, devant une bonne série… pour ne pas m’endormir !).
Il s’agit du modèle Dreams of Aran, de chez Drops, que j’ai modifié car M. Cath souhaitait un col roulé à la place du col rond.

Et cela m’a donné envie de refaire un pull irlandais pour MOI (celui que j’ai récupéré gratte décidément beaucoup trop pour que j’aie envie de le porter !). Il est déjà sur mes aiguilles 🙂

Au bout de mes aiguilles

Balade d’automne… jamais deux sans trois !

Après avoir réalisé une première version écrue… puis une deuxième version corail… voici une troisième version de l’étole Balade d’automne, tricotée dans un fil 100% laine au coloris rose tout doux (« rose désert » est le joli nom de cette couleur).
J’ai pris toujours autant de plaisir à tricoter ce modèle avec de jolis points fantaisie qui empêchent de s’ennuyer durant sa réalisation (réalisation qui m’a pris quand même quelques semaines… et même quelques mois car je me suis interrompue au milieu pour tricoter une « grosse pièce », que je vous montrerai ultérieurement !).
L’étole finie mesure 1,80 m x 35 cm.


Au bout de mes aiguilles

J’ai encore joué les Pénélope !

J’avais au départ acheté cette laine (un joli fil 100% alpaga légèrement chiné, coloris « brume maritime ».. tout un programme !) pour un modèle d’étole… commencé… puis détricoté car le résultat ne me plaisait pas du tout (et en outre, je ne prenais aucun plaisir à le tricoter !). Comme je n’avais pas envie de me creuser la tête à chercher un autre modèle (je déteste commencer un ouvrage puis le défaire !), j’ai décidé de tricoter ce châle tout simple, que j’ai déjà réalisé plusieurs fois (pour moi et pour offrir) mais que je n’avais pas fait depuis… 11 ans (quoi ? déjà 11 ans ?!). Modèle idéal pour tricoter devant une bonne série le soir, sans prise de tête (et sans avoir trop besoin de regarder ses aiguilles !). Quelques soirées plus tard, le voici terminé…

J’ai agrandi le modèle d’origine et celui-ci a une belle ampleur !

Les photos ne rendent hélas pas vraiment honneur au coloris….

« Le bonheur, le vrai bonheur, est fait d’une multitude de petites joies qu’on recueille pieusement pour en former un gros bouquet. »
Max du Veuzit

Au bout de mes aiguilles

Version 3… et version 4 !

Après la version rouge pour Léonie, la version jaune pour Charline, voici une troisième version du modèle Amelia, en 100% coton, dans un rose très tonique, pour ma petite Lilas ! Un modèle toujours aussi agréable à tricoter et dont j’aime la fantaisie de dentelle sur les épaules et l’ampleur donnée par quelques fronces à la taille…

Vous l’aurez constaté, lorsque j’aime un modèle, je ne me lasse pas de le tricoter ! C’est le cas de l’adorable cardigan « Alouette« . Après la  version bleue pour Charline, la version rose pour Léonie et la version écrue pour Lilas, revoici une version bleue ! Bon, celui-ci n’est destiné ni à mes petites-filles ni à mes petites-nièces puisqu’il s’agit d’une « commande » (façon de parler… mais bref, on ne va pas entrer dans des détails qui n’intéressent personne !)

« Le secret du bonheur et le comble de l’art, c’est de vivre comme tout le monde en n’étant comme personne. »
Simone de Beauvoir

Au bout de mes aiguilles

Butterfly in fall

Chacune son tour ! A peine terminé le petit cardigan pour ma douce Lilas, j’enchainais sur un autre modèle, destiné cette fois à Charline ! J’ai toujours en ouvrage en cours (pour, entre autres, ne pas m’endormir devant la télé le soir !!).
Cette fois encore, j’ai choisi un coloris tonique pour un modèle disponible gratuitement ici.

« Le préjugé est un fardeau qui obscurcit le passé, qui menace l’avenir et qui rend le présent inaccessible. »
Maya Angelou