Nous vous proposons aujourd’hui de nous suivre en Sardaigne, avec le premier article d’une série consacrée à notre escapade du mois de septembre. En parlant de la Sardaigne, je vous rappelle que vous avez jusqu’à lundi pour passer commande de mon dernier kit ! Toutes les infos sont ici…
Nous longeons aujourd’hui la côte nord de la Sardaigne pour aller de Porto Torres à Palau. En effet, à peine débarqués du ferry en provenance de Toulon, nous devons reprendre un second ferry pour nous rendre sur l’archipel de la Maddalena qui se situe au Nord-Est de l’île. Nous arrivons très tôt, à 6h00 du matin. Il fait encore nuit et il y a même du brouillard.
M. Cath a prévu trois arrêts dans la journée avant de reprendre le ferry en fin d’après-midi à Palau. Heureusement, le brouillard s’estompe et nous pouvons voir notre premier lever de soleil sarde.
Notre première escale est pour une balade matinale dans le village de Castel Sardo… où il n’y a pas grand chose à voir !
D’ailleurs à ce sujet, comme à son habitude, M. Cath a essayé de mixer différents thèmes pour varier nos journées sur l’île. Malheureusement, très peu de sites ont retenu son attention dans les proches environs de notre itinéraire. Le thème principal de notre escapade étant la partie balnéaire, nous sommes restés au plus près de la mer durant ces 11 jours, avec des étapes très proches. Nous avons seulement parcouru la côte nord de l’île et la moitié de la côte ouest. La Sardaigne est la seconde île de méditerranée en terme de superficie ; elle est par exemple trois fois plus grande que la Corse.
Dans un souci de diminuer notre empreinte carbone, nous avons évité de faire des kilomètres juste pour aller voir un site ou un village dans une autre région de la Sardaigne. De plus, cette approche a permis d’avoir des journées de farniente sans contrainte d’horaires.
Il est entendu que si l’île nous plait, nous reviendrons pour en visiter une autre partie.
Nous arrivons assez tôt dans la matinée pour notre deuxième escale qui entre dans notre thème principal : baignade et plages de rêve. Nous sommes sur la « Costa Paradiso » qui porte à merveille son nom.
Nous empruntons un sentier côtier bien aménagé pour rejoindre à pied la « Cala Li Cossi » après un petit quart d’heure de marche.
La couleur de l’eau est très belle.
La plage correspond tout à fait à nos envies. Comme nous le constaterons les prochains jours, le fait de venir de bonne heure nous permet de choisir un endroit stratégique pour rester assez loin des autres plagistes qui ne manqueront pas d’arriver.
Nous nous installons entre le gros rocher et la partie droite de la plage, qui ressemble à une petite plage privée avec son accès de sable pour aller nager sans se tordre les pieds sur des galets !
L’eau est d’une transparence impressionnante et comme nous sommes dans une crique, la mer est d’huile.
Les rochers qui bordent la crique sont artistiquement érodés et du coup très photogéniques.
D’ailleurs, nous surnommerons l’endroit « la crique du coq », en rapport avec le rocher de la photo ci-dessous.
La crique est délimitée par une ligne de bouées qui empêche les bateaux de s’approcher des nageurs. Nous pourrons ainsi nager assez loin en toute sécurité.
Après cette charmante baignade dans une mer autour de 25 degrés, nous devons continuer la route. Vous noterez que la mer est extra propre.
L’escalier d’accès à la crique permet d’avoir une vue panoramique sur cet endroit.
Il y a un peu plus de monde sur la plage en ce début d’après-midi, mais ce n’est pas la foule.
A l’arrière de la plage, une rivière arrive jusqu’à la mer.
Elle forme un joli canyon sauvage.
Dernier regard vers la côte du paradis.
Pour la petite histoire, nous avons décidé de comparer les différentes plages que nous allons découvrir en leur mettant une note en forme de cœur ; la notation va de un à trois cœurs. Après concertation nous attribuons … 4 cœurs à « Cala Li Cossi » ! En effet, tout était au top pour le farniente et la baignade dans un cadre enchanteur ; même le sable pas trop fin, et qui du coup ne s’introduisait pas partout, était parfait !